-
De nombreuses consolidations, dont de superbes séries d'arches maçonnées, permettaient de renforcer la stabilité des galeries situées à une vingtaine de mètres sous la surface de la ville.
-
-
-
Des flèches peintes en rouge sur fond blanc permettaient d’indiquer l’accès et le cheminement à l’intérieur de l’abri.
-
-
L’accès principal se faisait par une pente douce entièrement maçonnée débutant dans une cave et débouchant dans la carrière par un petit escalier. Approximativement à mi-chemin de la pente, un escalier courbé et désormais murré, remontait dans les caves d’un autre bâtiment.
-
Une inscription, gravée dans un joint de maçonnerie nous donne peut-être une indication sur la date d’aménagement de l’abri.
-
Malgré les nombreuses modifications apportées à ce lieu suite à sa reconversion en abri, les quelques hagues, fronts de taille et piliers à bras encore visibles nous rappellent que nous sommes avant tout dans une ancienne carrière de calcaire.
-
-
Le béton de l’escalier en colimaçon conserve l'empreinte des anciens journaux utilisés pour le coffrage.
-